Je le répète souvent à mes étudiants : les écoles de commerce ne mènent pas qu'au commerce...
Ces grandes écoles vous donnent les clefs de tous les projets imaginables.
Parmi mes anciens étudiants qui sont passés par une école de commerce,
-une productrice et actrice de théâtre
-une musicienne
-une pâtissière qui ouvre sa boutique à Metz, (sa page FB : https://www.facebook.com/atelierpatissier)
-de nombreux acteurs du monde des Organisations Non Gouvernementales (Médecins du Monde, Action contre la faim...)
-des cadres de l'ONU ou de l'Unesco
-d'autres qui travaillent dans les instances européennes à tous types de postes
-des journalistes
-d'autres qui travaillent dans l'édition, etc.
Pour ne citer que des jobs atypiques.
En résumé,
-si vous acceptez de passer par des apprentissages un peu rébarbatifs (gestion, finance, droit, logistique),
-si vous êtes prêts à être débrouillards pour financer vos études (alternance, prêts, bourses),
ces structures peuvent être d'excellents tremplins pour réaliser des projets créatifs, artistiques ou autres.
Même si vous vous considérez comme des littéraires, même si vous êtes fâché(e) avec les chiffres, même si vous vous sentez loin de la sphère du commerce ou de l'entreprise, soyez assez courageux et aventureux pour dépasser vos idées reçues. A de très rares exceptions près, nos étudiants de prépa littéraire qui sont passés par les écoles de commerce se sont fort bien tirés de toute la partie la plus liée aux chiffres, à la technique, à l'évaluation ou à la logique. Rien d'inabordable. Et si c'est là votre point faible, vous compensez en langues, en expression, en esprit d'analyse ou de synthèse.
Il me semble qu'un certain discours ambiant tend à vous donner l'impression qu'il faut faire des études "qui vous plaisent", qu'on doit trouver un travail dans lequel on puisse "s'épanouir" et être "créatifs". C'est évidemment tout ce qu'on peut souhaiter, mais ce serait vous mentir que d'affirmer que l'on peut trouver un emploi rémunérateur et intéressant sans passer par l'acquisition "à la dure" de compétences techniques que notre monde très technologique exige. A partir de là, on peut devenir "créatifs".
Sur le sujet, le lien vers le hors-série de Espace prépa : http://webpublication.studyrama.com/Flippingbook/Espace_Prepa_Khagnes_2013/#/1/
Précision utile à ceux qui ne vont pas en Première Supérieure, les programmes "Bachelors" de ces écoles sont souvent assez onéreux et limitent les étudiants à la seule perspective de passer dans le master de la même école, sans pouvoir prétendre en général à une équivalence universitaire. N'oubliez pas qu'il est possible de rejoindre des formations d'excellence équivalentes en passant par les universités européennes : en Hollande, en particulier (http://www.maastrichtuniversity.nl/web/Faculties/SBE.htm ou http://www.utwente.nl/en/education/master/programmes/business-administration/),
j'étais cette année aux journées "portes ouvertes", j'y ai découvert une pédagogie remarquable, des locaux magnifiques, une performance avérée pour intégrer le marché du travail européen ou international. Uniquement pour ceux qui sont près à des études supérieures entièrement en anglais! Coût annuel des études, environ 2000€ et nombreux jobs locaux pour aider.
mardi 6 mai 2014
dimanche 27 avril 2014
vendredi 25 avril 2014
un job bien fait pour des (hypo)khâgneux...
Savez-vous ce qu'est un Community Manager?
Polyvalent sur le web, le Community Manager agit à la fois sur la veille d'informations, la création de contenus mais aussi sur la création et l'animation de communautés. Matthieu Boutaud, Community Manager Freelance, nous explique alors que la veille consiste "à surveiller ce que dit Internet sur une marque." À partir de cela, il va s'opérer certaines remontées positives ou négatives auprès du client ou de l'entreprise intégrée par le CM. La deuxième phase de leur mission va ensuite reposer sur la création de contenus visant à "engager une communication de marque". Dans ce cadre, les concepts "créa' " élaborés en amont par le Community Manager vont exiger une validation par le client ou la hiérarchie. Par ailleurs, il est responsable de la gestion de projets. Pour ce faire, il doit gérer les retours sur les propositions soumises en termes de communication et/ou de création.
Il n'existe pas réellement de formation type pour accéder à la profession de Community Manager. Enfant des réseaux sociaux, Matthieu Boutaud affirme que son apprentissage du métier s'est fait "sur le tas". Ainsi, il lui a fallu s'armer d'une patience à toute épreuve avant de réellement apprécier le fruit de son travail sur le web. " Les résultats de notre travail ne sont pas visibles rapidement, il faut attendre un certain temps" nous explique-t-il. De plus, cette fonction demande une forte réactivité afin de débusquer d'éventuels points de communication défavorables à la marque ou l'entreprise que l'on défend sur le web. Enfin, le poste de CM requiert une certaine force de créativité qui va permettre "de se démarquer et de ne pas avoir un langage banal".
Formation : une école de commerce, une bonne école de communication (CELSA), un master spécialisé dans le web, mais aussi une bonne dose de motivation personnelle et de curiosité.
L'internaute utilise de nouveaux moyens de consommation dans son acte d'achat : les forums et les sites d'avis lui servent à récupérer les commentaires de la communauté sur un produit, une marque, une enseigne : ce sont ces commentaires et ces avis qui aujourd'hui, font office de gage de qualité.
Le community manager a pour mission de créer et d’animer des communautés dans le but de développer les relations avec ses publics – collaborateurs, utilisateurs, clients…
Dans un premier temps, le community manager élabore la stratégie de présence de son entreprise sur les médias sociaux afin de répondre aux objectifs déterminés en concertation avec les différentes directions concernées (innovation, marketing, communication..).
Les objectifs peuvent être variables : développer la notoriété et l’image de marque de l’entreprise, soigner son e-reputation, mettre en place une plateforme participative en interne pour favoriser l’innovation, déployer des dispositifs de knowledge management, ouvrir la plateforme à la communauté externe (consommateurs, usagers, grand public) afin de permettre la co-création de services, produits ou contenus.
Concrètement, il lui faudra dialoguer avec les internautes sur les différentes plateformes ou médias sociaux de son entreprise mais aussi sur les sites extérieurs : blogs, forums, réseaux sociaux. Il sera force de proposition sur les contenus impactants en fonction des objectifs à atteindre et connaîtra les mécanismes de diffusion les plus adéquats.
Le community manager est aussi en charge de la veille technologique (nouveaux outils ou médias sociaux – Facebook, Dailymotion, Twitter ,YouTube, Flickr ....) mais aussi sectorielle (étude du marché). De ce fait, il est aussi l’élément clé pour observer les remontées négatives et leur amplification au point de devenir d’éventuelle crise. Il aura donc en charge de prévenir les situations de crise et, en dernier recours, mettre en place des scénarios de gestion de crise.
1- Développer la notoriété de la marque (de l’entreprise, de l’institution, de l’association) sur le web
Pour atteindre cet objectif, le community manager est amené à passer par un certain nombre d’activités :
2- Animer la communauté et renforcer sa cohésion
L’animation de la communauté par le community manager consiste à :
3- Accompagner le développement technique et fonctionnel de la plateforme
Dans certains cas, le community manager est amené à gérer une plateforme spécifique par laquelle passent les échanges d’une même communauté. Pour ce faire, il doit :
*Le buzz (anglicisme de « bourdonnement » d'insecte) est un technique marketing consistant, comme le terme l’indique, à faire du bruit autour d’un événement, un nouveau produit ou d'une offre.
** Le responsable du trafic est en charge de la gestion et de l'organisation des espaces et des campagnes publicitaires sur Internet.
4- Etablir le reporting et analyser
Une part importante de la mission du community manager consiste en l’évaluation de la communauté :
5- Rester en veille
La veille reste une part très importante du travail du community manager qui se doit pour être efficace de :
Le community manager doit posséder les compétences techniques suivantes :
Les qualités indispensables à la bonne pratique de ce métier sont :
Polyvalent sur le web, le Community Manager agit à la fois sur la veille d'informations, la création de contenus mais aussi sur la création et l'animation de communautés. Matthieu Boutaud, Community Manager Freelance, nous explique alors que la veille consiste "à surveiller ce que dit Internet sur une marque." À partir de cela, il va s'opérer certaines remontées positives ou négatives auprès du client ou de l'entreprise intégrée par le CM. La deuxième phase de leur mission va ensuite reposer sur la création de contenus visant à "engager une communication de marque". Dans ce cadre, les concepts "créa' " élaborés en amont par le Community Manager vont exiger une validation par le client ou la hiérarchie. Par ailleurs, il est responsable de la gestion de projets. Pour ce faire, il doit gérer les retours sur les propositions soumises en termes de communication et/ou de création.
Il n'existe pas réellement de formation type pour accéder à la profession de Community Manager. Enfant des réseaux sociaux, Matthieu Boutaud affirme que son apprentissage du métier s'est fait "sur le tas". Ainsi, il lui a fallu s'armer d'une patience à toute épreuve avant de réellement apprécier le fruit de son travail sur le web. " Les résultats de notre travail ne sont pas visibles rapidement, il faut attendre un certain temps" nous explique-t-il. De plus, cette fonction demande une forte réactivité afin de débusquer d'éventuels points de communication défavorables à la marque ou l'entreprise que l'on défend sur le web. Enfin, le poste de CM requiert une certaine force de créativité qui va permettre "de se démarquer et de ne pas avoir un langage banal".
Formation : une école de commerce, une bonne école de communication (CELSA), un master spécialisé dans le web, mais aussi une bonne dose de motivation personnelle et de curiosité.
La fiche de "Pôle Emploi" :
Le métier de Community Manager
La nécessité de communiquer sur son entreprise, de rédiger du contenu sur les médias sociaux, de faire de la veille concurrentielle a donné naissance il y a à peine cinq ans environ au métier de Community Manager (CM).
L'internaute utilise de nouveaux moyens de consommation dans son acte d'achat : les forums et les sites d'avis lui servent à récupérer les commentaires de la communauté sur un produit, une marque, une enseigne : ce sont ces commentaires et ces avis qui aujourd'hui, font office de gage de qualité.
La communauté est devenue une référence, elle est consultée, lue, appréciée. Le rôle du Community Manager grandit avec le recours à ces communautés : ce métier est devenu de nos jours un incontournable en matière de communication d'entreprise. Et si les États-Unis l'ont déjà compris depuis longtemps, la tendance en France est depuis maintenant quelques années à la hausse.
Les entreprises recrutent un community manager pour trois raisons principales : accroître la notoriété de l’entreprise, acquérir de nouveaux clients et fidéliser les leurs. Suivent la gestion de la relation client (CRM), le recrutement et le travail autour de la marque employeur.
Si le terme « Community Manager » (qui signifie une fois francisé « animateur de communauté web») est employé dans 45 % des cas, d’autres appellations : chargé de communication web, social media manager, gestionnaire de communautés Internet, animateur réseaux sociaux, manager de communautés… sont utilisées.
Les missions du community manager
Le community manager a pour mission de créer et d’animer des communautés dans le but de développer les relations avec ses publics – collaborateurs, utilisateurs, clients…
Dans un premier temps, le community manager élabore la stratégie de présence de son entreprise sur les médias sociaux afin de répondre aux objectifs déterminés en concertation avec les différentes directions concernées (innovation, marketing, communication..).
Les objectifs peuvent être variables : développer la notoriété et l’image de marque de l’entreprise, soigner son e-reputation, mettre en place une plateforme participative en interne pour favoriser l’innovation, déployer des dispositifs de knowledge management, ouvrir la plateforme à la communauté externe (consommateurs, usagers, grand public) afin de permettre la co-création de services, produits ou contenus.
Concrètement, il lui faudra dialoguer avec les internautes sur les différentes plateformes ou médias sociaux de son entreprise mais aussi sur les sites extérieurs : blogs, forums, réseaux sociaux. Il sera force de proposition sur les contenus impactants en fonction des objectifs à atteindre et connaîtra les mécanismes de diffusion les plus adéquats.
Le community manager est aussi en charge de la veille technologique (nouveaux outils ou médias sociaux – Facebook, Dailymotion, Twitter ,YouTube, Flickr ....) mais aussi sectorielle (étude du marché). De ce fait, il est aussi l’élément clé pour observer les remontées négatives et leur amplification au point de devenir d’éventuelle crise. Il aura donc en charge de prévenir les situations de crise et, en dernier recours, mettre en place des scénarios de gestion de crise.
1- Développer la notoriété de la marque (de l’entreprise, de l’institution, de l’association) sur le web
Pour atteindre cet objectif, le community manager est amené à passer par un certain nombre d’activités :
- Effectuer une veille permanente des communautés en lien avec la marque, l’entreprise, l’institution,… : recenser les communautés sur le Web pouvant influer sur le positionnement de la marque (bloggeurs, forums de discussion...).
- Participer à la création des valeurs de la communauté : culture, codes sociaux et langagiers...
- Définir les objectifs de la communauté en accord avec le comité de validation : test de produit, information du client (ou de l'utilisateur), promotion de la marque...
- Définir les indicateurs permettant de suivre la vie de la communauté (nombre de posts, qualité des réponses...).
- Planifier et suivre les actions de recrutement de membres en ligne (partenariats, parrainage, campagne d'e-mailing...) en lien avec le marketing.
2- Animer la communauté et renforcer sa cohésion
L’animation de la communauté par le community manager consiste à :
- Faire des membres déjà existants un relai d'information au sein de la communauté.
- Lancer des sujets permettant de susciter le débat ou le partage d'expériences, de pratiques entre les internautes / consommateurs.
- Veiller à la qualité des réponses, y compris des critiques apportées à la marque ou au produit afin d'être en mesure de les exploiter et de relancer la discussion.
- Faire respecter les règles éthiques de la communauté (net-étiquette) via une action de modération sur le contenu produit par l'internaute : exclusion des propos, photos, ou vidéos à caractères raciste, pornographique, insultant...
- Gérer l'historique et l'archivage des données contenues sur le site (sujets abordés, informations et documents transmis par l'entreprise ou les internautes...).
- Rechercher de nouveaux médias sociaux (Dailymotion, Facebook...) permettant d'étendre l'influence de la communauté.
- Assurer la fidélisation des internautes via des évènements on-line (newsletter, jeux concours...).
- Mettre en œuvre des opérations événementielles pour réunir physiquement la communauté et ses leaders (bloggeurs influents, membres « VIP »,...).
3- Accompagner le développement technique et fonctionnel de la plateforme
Dans certains cas, le community manager est amené à gérer une plateforme spécifique par laquelle passent les échanges d’une même communauté. Pour ce faire, il doit :
- Veiller aux conditions d'utilisation du site notamment au regard des contenus interdits.
- Signaler les bugs des fonctionnalités du site et veiller à la disponibilité de la plateforme.
- Coordonner avec les équipes techniques les améliorations à apporter à la plateforme du site Internet.
- Analyser le buzz marketing* et suivre l'image de la marque sur les différents supports on-line (analyse d'images, de contenu...).
- Suivre l'audience des différents supports de la communauté en lien avec le traffic manager**.
- Effectuer un reporting des actions de communication engagées sur ce mode de relation au consommateur.
*Le buzz (anglicisme de « bourdonnement » d'insecte) est un technique marketing consistant, comme le terme l’indique, à faire du bruit autour d’un événement, un nouveau produit ou d'une offre.
** Le responsable du trafic est en charge de la gestion et de l'organisation des espaces et des campagnes publicitaires sur Internet.
4- Etablir le reporting et analyser
Une part importante de la mission du community manager consiste en l’évaluation de la communauté :
- Suivre et analyser les indicateurs de satisfaction et d'insatisfaction des individus et de l'ensemble la communauté.
- Suivre les statistiques de fréquentation.
- Proposer des axes d'amélioration.
5- Rester en veille
La veille reste une part très importante du travail du community manager qui se doit pour être efficace de :
- Surveiller les nouveaux usages (techniques, sociaux, marketing) sur les sites et les plateformes déjà utilisées.
- Faire de la veille concurrentielle sur la gestion de communauté des organisations concurrentes.
- Suivre les mises à jour des règles d'utilisation des réseaux sociaux et s'assurer que l'organisation est bien en conformité avec celles-ci (valable notamment pour Facebook qui modifie très régulièrement les conditions d'utilisation des pages fans).
- Identifier les sites et plateformes émergeants.
Les compétences et qualités pour exercer ce métier
Le community manager doit posséder les compétences techniques suivantes :
- Connaître précisément le sujet qui anime la communauté : l’environnement socioculturel des membres (langage, codes « sociaux », jargon...), les acteurs clefs (personnalités influentes, bloggeurs reconnus...), les plateformes de discussion...
- Maîtriser les nouveaux médias de communication : médias communautaires (Dailymotion, Youtube...), réseaux sociaux professionnels ou non (Viadeo, Facebook, Twitter...), blogs, forums...
- Maîtriser les outils de veille et de mesure de l'e-réputation : (métamoteurs sociaux, moteurs de blogs, moteurs d’actualités, suivi et recherche de commentaires, moteurs de forums et microblogging, agrégateurs,…).
- Maîtriser les techniques de veille et de recherche permettant de fournir de l'information, de susciter le débat et d'analyser les retours (techniques d'enquêtes qualitatives, sémiotiques...) et des outils associés (Google Alertes / Reader, Twitter, etc.).
- Avoir une bonne pratique des outils de mesure d'audience et/ou de statistiques permettant de suivre la notoriété d'une marque sur les différents supports de discussion (Xiti, Adwords, Google Analytics,...).
- Maîtriser l’anglais est fréquemment demandé.
Les qualités indispensables à la bonne pratique de ce métier sont :
- Curiosité et goût pour l'investigation car le community manager a un double rôle : trouver des sujets innovants pour dynamiser la communauté et faire participer les membres.
- Diplomatie et écoute car il joue un rôle à la fois d'animateur et de modérateur au sein de la communauté.
- Goût du contact car le community manager est en permanence sollicité par les internautes pour expliquer la pertinence du community management, la marque (ou le produit) ou répondre aux questions des internautes.
- Capacité d'adaptation et bonne expression orale car le community manager est en contact avec des interlocuteurs variés au sein de l'entreprise : direction technique pour participer aux évolutions techniques de la plateforme, direction marketing pour analyser le buzz de la marque sur le Web...
- Capacité rédactionnelle et sens de communication car la partie rédactionnelle occupe une place importante dans son activité quotidienne.
- Force de proposition pour faire évoluer le contenu, les objectifs (mesure d'audience...) et la plateforme technique en elle-même (ergonomie, fonctionnalités...).
- Capacité d'analyse et de synthèse car le community manager doit pouvoir effectuer des reporting auprès de ses différents interlocuteurs au sein de l'entreprise.
mardi 4 février 2014
ONISEP = fiches métiers
Il est très difficile de concevoir un parcours d'études sans avoir une connaissance au moins approximative des métiers qui existent. Ce devrait être la première démarche de tout étudiant. Pour cela internet est une mine d'exemples.
Il faut commencer par l'ONISEP qui donne de nombreux exemples :
http://www.onisep.fr/Decouvrir-les-métiers
J'ai pris l'exemple de directeur artistique dans la publicité qui peut vous intéresser et qui recouvre de nombreuses compétences :
http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/directeur-trice-artistique
Après, je tape "directeur artistique" dans un moteur de recherche :
-fiche Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Directeur_artistique
-fiche intéressante dans l'Etudiant (notez qu'ils proposent encore d'autres pistes dans la pub) : http://www.letudiant.fr/metiers/secteur/marketing-publicite/directeur-artistique-dans-la-pub_2.html
-bonne fiche dans Phosphore aussi : http://www.phosphore.com/metier/215/nom/directeur-artistique
-et je découvre aussi un site interactif avec une vidéo : http://www.lesmetiers.net/orientation/p1_194055/directeur-artistique
-puis, dans le lien, recrutement, la page de l'APEC (l'ANPE des cadres) pour voir s'il y a des jobs : http://cadres.apec.fr/MesOffres/RechercheOffres/ApecRechercheOffre.jsp?partenaireSid=apec_provider&keywords=%22Directeur+artistique%22
C'est un exemple de parcours de recherche. Maintenant, il faut aussi trouver quelle formation vous convient le mieux en fonction des types de métiers qui auront retenu votre attention. En attendant que la révélation vous tombe dessus...
Il faut commencer par l'ONISEP qui donne de nombreux exemples :
http://www.onisep.fr/Decouvrir-les-métiers
J'ai pris l'exemple de directeur artistique dans la publicité qui peut vous intéresser et qui recouvre de nombreuses compétences :
http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/directeur-trice-artistique
Après, je tape "directeur artistique" dans un moteur de recherche :
-fiche Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Directeur_artistique
-fiche intéressante dans l'Etudiant (notez qu'ils proposent encore d'autres pistes dans la pub) : http://www.letudiant.fr/metiers/secteur/marketing-publicite/directeur-artistique-dans-la-pub_2.html
-bonne fiche dans Phosphore aussi : http://www.phosphore.com/metier/215/nom/directeur-artistique
-et je découvre aussi un site interactif avec une vidéo : http://www.lesmetiers.net/orientation/p1_194055/directeur-artistique
-puis, dans le lien, recrutement, la page de l'APEC (l'ANPE des cadres) pour voir s'il y a des jobs : http://cadres.apec.fr/MesOffres/RechercheOffres/ApecRechercheOffre.jsp?partenaireSid=apec_provider&keywords=%22Directeur+artistique%22
C'est un exemple de parcours de recherche. Maintenant, il faut aussi trouver quelle formation vous convient le mieux en fonction des types de métiers qui auront retenu votre attention. En attendant que la révélation vous tombe dessus...
INALCO = Institut des Langues Orientales
L'INALCO est une structure universitaire mal connue des khâgneux et qui pourtant mériterait leur attention. A moins que vous n'ayez déjà un certain niveau dans une langue orientale, il s'agit certes de prendre une inscription en L1, inscription qui ne sera validée qu'en fonction d'un test de sélection.
Je n'ai pas d'informations précises sur ce test, mais j'imagine qu'un étudiant de prépa devrait avoir quelques atouts.
Il n'est pas inconcevable de penser à ce genre de parcours en parallèle avec un autre plus conventionnel. Je connais ainsi une traductrice qui a commencé le japonais alors qu'elle était déjà en L3 d'anglais et d'espagnol, en cours d'étude à l'ISIT. Aujourd'hui, le japonais est sa langue principale de travail.
https://www.inalco.fr/ina_gabarit_rubrique.php3?id_rubrique=2750

Je n'ai pas d'informations précises sur ce test, mais j'imagine qu'un étudiant de prépa devrait avoir quelques atouts.
Il n'est pas inconcevable de penser à ce genre de parcours en parallèle avec un autre plus conventionnel. Je connais ainsi une traductrice qui a commencé le japonais alors qu'elle était déjà en L3 d'anglais et d'espagnol, en cours d'étude à l'ISIT. Aujourd'hui, le japonais est sa langue principale de travail.
https://www.inalco.fr/ina_gabarit_rubrique.php3?id_rubrique=2750

BEL = Banque d'Epreuves Littéraires
La BEL (Banque d'Epreuves Littéraires) est une chance à saisir pour tous ceux qui choisissent de suivre une prépa littéraire. De quoi rendre jaloux les prépas scientifiques et économiques!
Pensez donc : vous passez une seule série d'épreuves écrites et, sur la base de ces seules épreuves, vous avez accès à près de 40 Grandes Ecoles!
Les épreuves sont celles du concours conçu par les Ecoles Normales Supérieures (Lyon et Paris) : dissertations de français, philo, histoire, géo sur programme et une épreuve correspondant à votre spécialité.
A vous de vous inscrire dans les Grandes Ecoles qui vous intéressent et, si vos notes d'écrits sont correctes, alors vous serez admissibles et il ne vous restera alors plus qu'à passer les oraux!
Sur ce sujet, lisez l'excellente synthèse d'Espace prépas :
http://webpublication.studyrama.com/Flippingbook/Espace_Prepa_Khagnes_2013/#/1/
Pensez donc : vous passez une seule série d'épreuves écrites et, sur la base de ces seules épreuves, vous avez accès à près de 40 Grandes Ecoles!
Les épreuves sont celles du concours conçu par les Ecoles Normales Supérieures (Lyon et Paris) : dissertations de français, philo, histoire, géo sur programme et une épreuve correspondant à votre spécialité.
A vous de vous inscrire dans les Grandes Ecoles qui vous intéressent et, si vos notes d'écrits sont correctes, alors vous serez admissibles et il ne vous restera alors plus qu'à passer les oraux!
Sur ce sujet, lisez l'excellente synthèse d'Espace prépas :
http://webpublication.studyrama.com/Flippingbook/Espace_Prepa_Khagnes_2013/#/1/
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